Assis là dans la chambre drapé de ce qui donne sur la rue de notre peau son carnaval peuplé de fleurs excrémentielles sur la ligne homme se fume et finit en cendre en lui-même trapèze affublé de chute permanente et vous-même utilisez vous jusqu’à d’autres dans le précipice du chapeau des mots livres ouverts dans l’aise de les convoquer pour penser posés mots sous le coude attablé plutôt communiqués puis pliés puis copiés ‘il pait parmi les mousses mignonnes de Mai’ un trou blanc comme orbite sous sa canicule endossant la Caspienne d’un golf propre et frais sous la chemise repassée sans-dieu comme des fèces sur un sol chantant réintroduire la fumée cigare dans personne est le nom de celui assis dans convoquer pour inspirer des mots au sprint de la machine c’est la chute disparition pour renaitre trapèze être le mirador de sa peau l’un dans l’autre de braille à l’affut de magie rameau vert abri frêle et fragile à sauter la rambarde hop une parenthèse siffle des images empeste sauterelles buissons dans le livre des morts l’érogène paroi c’est la contemplation des chaines de montage ‘mignonnes de Mai’ cuisses pourries du soir montées sur glas aiguille de ville empestée.

Celui qui pense que l’on peut faire mentir les mots ne pourra croire que c’est ici le cas.

Gottfried Benn