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Article publié le 25 septembre 2016. oOo Et l’on peut tout changer. On peut interpréter les choses. C’est la condition pour que les choses soient. Et l’œil des animaux qui contiennent l’espèce entière et cette faune dont nous avons l’œil. Et la queue et l’échine. Interpréter les arbres le banc du jardin et la corde du saut ce charmant couperet. L’enfer le paradis ou le ciel et la terre la craie de la pluie. Le maquis des querelles le parfum des mots comme une maternelle. Et le premier tournant des vues sans coup férir pour notre carrousel avec ses murs grouillants de fête intérieure.
Qu’il est difficile d’être soi et de ne saisir que le visible
Fernando Pessoa
tels des nuages sans ciel pour les martyriser l’auteur |
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