* Heinsius (op. cit., p. 37, note 2) propose, du fait d’une certaine communauté de thème, de rattacher ces quelques syllabes astrales au célèbre fragment Bergk 127 a-b :

[…] telle chez le Scythe du Nord […]

la sainte, et noire, Aurore hyperboréale […] (litt. hyperboréenne),

et même au fragment 138 considéré pourtant comme apocryphe par beaucoup depuis longtemps (cf annexe du présent recueil, premier texte). Nous avons préféré pour notre part suivre la restitution de Willamowitz-Möllendorff.