L’utopie est socialiste. Il n’y en a pas d’autres. On lui oppose toujours l’objectivité et la dystopie. Les uns se sentent objectifs aussi bien en empruntant les voies du libéralisme que les sentiers du fascisme. Les autres, sur le chemin inverse, croissent dans les dystopies à valeur nmarchande. Ce qui est sûr, c’est que nous partons tous du même point de rencontre où les vertus du capitalisme font la preuve de leur efficacité : royaumes, républiques, califats, duchés et tout ce qu’on voudra d’institutionnalisé se posent comme des oiseaux de mauvais augure sur la branche phallique sortie tout droit du ventre du socialisme. Bien sûr, il est toujours possible de fermer les yeux et de marcher droit devant soi, suivant les autres, ceux qu’on reconnaît pour sien. Et de temps en temps, ou trop souvent, on s’arrête pour regarder à l’intérieur de soi et rêver un peu à des jours meilleurs. mais le plus souvent, ça arrive comme le cheveu dans la soupe et il faut alors cracher au bassinet comme les autres.
Soy Daniel, hermano de Guapalupe, fallecida a las 13:30 h. el pasado día 31 de Julio 2016 y, por el presente escrito, decirle a Vd., para su conocimiento y efectos oportunos, que me veo en la obligación de informarle de la mala situación en la que encontraron mis sobrinas Rosa y Pilar a su tía el día 31, antes de que culminara en su muerte.
Yo, el viernes anterior, marché a las cuatro de la tarde, un poco después de que Vd. me informara de su situación que era estable y que, "con toda seguridad, y una vez que se normalice su obstrucción intestinal pues estaba llena de mierda", como Vd. me dijo, saldría hacia la Residencia en dos días, después del lunes, cuando Vd. quedó con volver a visitarla.