- texte intégral
Connais-tu l’homme perdu qui s’imprimait les dents de citrons toxiques ??
Vivant de faux et d’herbe imprudente, il bise la mouche pour réaffirmer l’illusoire de sa semence.
Au pied d’un platane, à l’époque où le soleil se paye, il consacre le crime de l’amour par le choc tremblant d’un ornement masculin sur Odette qui jusqu’ici est la seule agence qui reconnaisse la tige gercée comme le terme en souffrance adressé à l’Assurance.
Bien que vengeance recommence, il y a une vision qui peut nous convenir ? : bizarre le rôle de la poupée démantelée emmêlant abandonnée et pourtant saupoudrée d’exemplarités ?!
Sous le TEMPLE de la contingence est né le Jeu de Perd, analogue au sentiment impossible pour l’humain totalisateur du Nom sans façon.
Courir, avec pour jerrican un clou dans la perception.[...]