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Article publié le 15 juillet 2018. oOo La ville dans ses bas dont bleuissent les veines fait sa promenade à la campagne. Il donne sa langue aux champs de la campagne aux haies de la campagne à sa table en campagne lui qui est urbain. Il rêve d’engranger tente de raconter tente de raconter de raconter les rideaux du théâtre urbain qui s’ouvrent tout autour de lui de raconter la lande son tracteur et son bruit à peindre le silence et le courant des choses chaines éternelles nuages merveilleux nuages d’incipits. Et ce batifolage au pubis de la lande de la haie nomade son lent va et vient des Andalouses lues dans la vie de Rancé. Le courant de la haie de l’eau dans ses arpions avec ceux du soleil. Il parle sans savoir ce qu’il dit mais se dit se met en scène écrit. Os de fumée. Dégagement complet met au monde le monde ne rien dire donc tout dire quelque soit l’histoire le prétexte. La narration s’enfonce dans les haies et la rondeur pulpeuse des seins des cerises le nom de Grandier la fille et sa vache celle de l’écran le lait machin-chose s’évoque un Corot. Est le récit d’un rêve d’une image vue mal vue et entendue.
…dans un abondant marécage de toitures magnifiques Paul Valéry |
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