C’est justement quand il n’y a rien « à dire d’intéressant » qu’il faut laisser aller le carcel,
pousser l’atrabile à quitter le boucau.

À la tienne, à la nôtre, allons chanter « du pavot au pavé » notre mort de merde,
celle que réserve le « swing du gauche à la face sur une garde trop basse ».

Allons chanter Sédar-Senghor et n’en parlons plus entre nous,
mais avec les maringouins sans calmants et le sang marcescent.

Poussons au « cross du droit en contre sur un direct du gauche esquivé »,
gaussons-nous de la France en calmants,
poussons les caraques à l’assaut du cardia !