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Article publié le 8 décembre 2019. oOo Des traces plus ou moins des larmes comme on dit de crocodiles sont la joyeuse apocalypse de ton écriture comme laisser pisser le mérinos de tout ce rien qui fait la brasse papillon dans son bocal avec le poisson soluble de Breton
et déposer du sel à brides abattues sur la queue des pigeons dont la plume animale est très exactement ce que tu dis Lune et soleil le monde lu dans la divinité du crottin de Pégase et son hennissement codicille des mots crottin et crocodiles tes doigts sur les touches font monter ton corps en neige sur la table plus loin que les étoiles et plus proche que l’œil où ça s’entrouvre en bas comme un lit dont tu es comme dit Valéry la chaleur et tout le tremblement |
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