D’un crrr, crrr, paisible,
s’ajoute à ma plume qui chante
sur du papier de riz,
un Bergeron qui veille.
Toc, toc, toc !
Entrons dans la ronde
parmi ce qu’il y a derrière les yeux de l’homme.
Assurément, il n’y a plus qu’un être
qui se porte en avant
vers ce qu’il a de plus grand.
Tel est l’homme debout, un être
qui n’est ni un commencement
ni une fin.
Le spectacle de la vie
qui lui vient fort aise sous les yeux
devient silence.
C’est alors qu’une voix parle et dit :
L’invisible et le visible
fleurissent toujours ensemble.