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Enclos gris à couenne requiem... |
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![]() oOo Enclos gris à couenne requiem et pas D’ascenseurs vers des combles, mais Le vieux dos des arbres, le crépi des morts Bottés de giboulées ; Le gospel des vitrages dans les entrepôts De la terre fourbue rogomme un noir-fumée Notre ombre des bois, notre nuit d’été Avec des Colombines accroupies dessous Qui mâchent un baiser sordide avec dégoût Et pourtant d’une beauté folle qui ravage Et de très jeunes crimes parmi les crassiers Florissants des rengaines, rôts, vomissements Rythmés au pas de l’oie, rengaine populaire Ville monstrueuse, nuit interminable. (cité) |
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