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Celui qui supporte les pollens |
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![]() oOo Le monde qui monte, une date accrochée aux façades tirées par des géraniums rapideset vibrants, fait trembler le fronton despalmes acérées comme des sifflets, ou le chanfrein allant des cavales d’Élée ; cet aujourd’hui s’emperle de rosée qui met undiadème de rouille à l’Anitya de nos modernités frivoles d’écrans édentés. Où tous les signes bleus du jour sont restés pris dans les plis des portières, les mots imprimés s’exilent aux cadrans albinos du papier en boule vers l’égout subtil de la pensée, perdue dans la poussière en quête du balai de Swift qui fait monter l’éternuement de l’être. |
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