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Article publié le 27 décembre 2020. oOo L’éternité éternuée de cet instant où vous fûtes soulevé, (brisure volubile, et pore à la prestesse de lézard), vous laisse un goût, une couleur, une sonorité, les spores d’une image à peine dissipée, et un parfum de porte entr’ouverte qui vous porte au lieu le plus proche de vous : semailles et pollens de ponctuations d’un rêve familier. Et les glyphes d’Avril entérinent et font durer l’inattendu qui s’étale et bourgeonne. Glycines et lierre gardent les orages comme des otages, et les mots en bourgeons, comme chaque printemps recrache ce fétu couvert de merde jaune. |
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