Fractures ouvertes partout engrangées
avec les céréales frappées de blondeur,
qui rêvent à la fourche dans l’obscur silo
des paroles broyées par les mots cagoulés
de la hure d’usage bandée de momies
que crachent les machines qui les recrachant
les transforment en vols aux ailes de péris
qui décèdent au « ciel et terre » des marelles,
où ne plus signifier qu’un raclement de pieds
d’enfance et sa chaussée, qui ont perdu la craie
où l’élan vers la vie franchissait les stations
où reprendre le saut. Le dessin qui s’efface
avec la pluie ravive la marelle-temps,
afin que nous gardions en nous la mort en vue.