La littérature abstraite, je l’ai mentionné à plusieurs reprises, est tout autre chose que l’élaboration d’une fiction à partir du concept d’histoire.
Y compris de personnage.
Ce qui domine, c’est la présence de consciences narratives dont le cheminement ou la déambulation, peu à peu, constitue l’unité du texte.
Avec, il est vrai, la présence massive pour ne pas dire démesurée d’un je qui, tout en étant un autre, s’affirme avec sérénité, tout en diffusant sa vision du monde.
Le concept de personnage habite une autre abstraction, au sein de mon cortex, et ce de manière quotidienne.
Soit un accompagnement intermittent de subjectivités à forte dimension.
Jules César, Michelle Pfeiffer, Ligeti...
Alain Robbe-Grillet...
Bach, Purcell...
Et une myriade ou noria de modèles, de jolies filles toutes plus distinctes les unes que les autres, que j’ai transformées en œuvres d’art.
Ou que je croise tous les jours.
Car les plus belles filles du monde sont bien ancrées dans l’espace urbain.
Loin des magazines et de leur papier glacé, loin des lumières et de la célébrité.
Oui, Vénus et sa beauté s’imposent par intermittence, au cours de la journée, segmentant le temps déjà haché, pour mieux l’épaissir, le densifier.
Le rendre réel.
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Ce qui domine... https://youtube.com/shorts/6m4obcUWbPk?si=fH-pEijViXxWqNv1