Laisser un petit coin de blanc sur sa toile est pour le peintre peindre une voile. Plutôt être embarqué par une voile. Celle qu’imagine le peintre après coup c’est donc un coup de vent qui pousse est une voile. La toile est pavillon hissé et c’est du noir dans un soleil sanglant un butin de safran. Le vert- bouteille jeté à la mer qui est verte sera donc la mer sur laquelle une voile la toile sans titre est larguée. Le peintre doit trouver un titre à ce sans titre cherche en regardant sa toile à en trouver. Il part à l’abordage du tableau sans titre son propre tableau et trouve que pirate est un titre qui va tout va. La voile d’un bateau pirate allons-y donc et il pense à part-soi que ça ne mang’pas d’pain. Et pense après avoir trouvé son propre titre à son ami le peintre Gorky suicidé qui avait peint trois toiles appelées pirate il s’en souvient. Et depuis De Kooning nous pirate la vue mais nous avons des armes pour couler sa flotte et hisser à nouveau le pavillon sans titre avec le chiffre deux. Par là-même le peintre.

J’ai toujours eu l’impression que les grecs se cachaient derrière leurs colonnes.

De Kooning