Pierre Vendel est né le 9 septembre 1967 à Metz. Lorrain de pure souche, il habite aujourd’hui à Talange, une ville située à quinze kilomètres au nord de Metz. Professeur de lettres au collège d’Amnéville depuis 1998, Pierre Vendel enseigne le français depuis maintenant seize ans.
C’est au début des années 80, en écoutant « La vie ne m’apprend rien » de Daniel Balavoine, qu’il considérait comme une sorte de père spirituel, qu’il a pris conscience du pouvoir et de la beauté des mots : « Les lois ne font plus les hommes mais quelques hommes font la loi ». Ce chiasme a été le déclic poétique, la prise de conscience de la beauté de la langue, il a déclenché en lui l’envie de créer à son tour, le désir de jouer avec les mots, de les manipuler, de les faire rimer, mais également d’exprimer des idées aussi belles que rebelles. En 1984, il a donc écrit son premier texte poétique, sur le mur de Berlin (certainement, là encore, l’influence de Balavoine). Les poésies se sont ainsi enchaînées… et se sont régulièrement entassées au fond d’un tiroir, jusqu‘au jour où …
Hormis des poésies, « je n’ai rien écrit de vraiment abouti. J’ai un roman en « chantier » que je finirai lorsque les muses romanesques daigneront de nouveau souffler sur mon inspiration. Etant passionné de football, j’écris régulièrement des analyses de match sur le site tousgrenat.com. » - affirme le jeune auteur. |