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Article publié le 19 février 2017. oOo « Qui reste dans l’ombre » pensai-je soudain en cherchant une phrase. Puis arrive comme par surpriseest lumineux en diable. Cet italique imprévu justifie la première partiede la phrase. Qui reste dans l’ombre était comme un tremplin d’où sauter sans savoir dans quelle conclusion se ferait l’aphorisme. Car c’est un aphorisme qui s’est construit là sans que je l’aie voulu. Quelle morale en sort ou pensée en tirer ? Ce lumineux en diablequi s’est imposé a squatté l’italique seul requis par moi pour compléter icile sujet de la phrase de son prédicat. Lequel prédicat eût pu être tout autre par exemplea l’âme du velours ou bien aime les parapluies. La morale d’un aphorismeest souvent dans l’écritl’imprévu prédicat péchésans hameçonparmi les italiquesperversdu langage.
L’oubli est la plus belle ardeur Breton et Soupault (Les champs magnétiques) |
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