Ici pas de commentaires, pas de bonbons,
juste l’envie de crever qui revient dans la foulée,
juste la mort quand la cuisson de
la vie se fait à croupetons,
quand la défonce sert de chaland à mes défloraisons.
Ici pas de commentaires, pas de bonbons,
juste l’alcool qui se prépare en douce et le
coup de crayon chiffonné, quand on laisse aller
vers sa vie, la saillie d’un chagrin salarié.
Ici pas de commentaires, pas de bonbons,
juste les saignements importants de l’homme
écorcé, écorné, l’homme en morceaux, l’homme
écrêté, égoutté, le monde presse-purée.