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Article publié le 10 mai 2020. oOo Dans les éboulements fleurissent les brèches Et c’est sous la langue, arquée par dessous, La ligne d’eau noire tire sur le fond En humant son crochet qui s’agrège aux masses Brèves et velues ; caresses d’estuaires Avec des nudités d’agrafe et leur escorte D’odeurs furetées, de plans enchevêtrés Aux semis des compas, ( ceux des écartements Font éclore cette ovation de vert tancé D’un à-pic mortel ) et le champ qui s’épand Force au plus près de l’agraphie ce qui s’efforce A dire le sans-toi du lieu, l’encoche nue Avec ce parfum d’ongle qui plane ; les mots Qui arrivent à se manquer : La chair d’un nom.
(rêve d’un nom ) 15/04/04 |
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