Le doigté solaire de la débandade
de faire l’écrit, comme on se déplante
d’un arçon à l’autre, déboule un chemin
goulu de bonds frais et d’épaves véloces
de sang qui s’agite sur le mors du ciel,
qu’il mâche en bégayant. Et ce nœud de silence
désigne le bruit boulimique d’un mort
par saccades cherchant le centre vivifiant
steppique à contrejour. Une récolte calte
à vitesse grand v qu’il faut déraciner
à rebonds raccourcis sur le vide où s’enroche
la buée du temps. Je rameute le quartz
irisé de hangars d’éclats brefs, écrivant,
j’ombre le point austral où niche l’étang blanc.