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Voir aussi la [Galerie de peintures] de Jacques Cauda [E-mail] Article publié le 25 juin 2023.oOo Elle n’a aucune pudeur Elle Montre avec une assurance Ani Male qu’Elle montre Une belle Celle d’affi Cher sans honte son pas Sage sa vulve pleine & rose qui Rend les hommes rouges gros Vivants la Folie du voir les rend ainsi ils découvrent
Il suffit d’un moment Elle cache De la main & se découvre vivement Est- Ce qu’ils veulent tout voir ? Ou juste un Bout 1 Morceau d’ Elle est aussi belle qu’étonnée Vertigieuse a dit l’un deux un Peu ivre assis sur son tabouret Ils sont autour d’Elle assis tous En cercle sur des tabourets noirs
Elle pose son slip sur la chaise La seule Ô si grêle on pourrait croire que Ses os frissonnent ou ricanent Leurs yeux se tordent quand Elle Ouvre grand ses cuisses si blanches Une fois elle a gardé sa main Posée dessus pour les affoler Faire suer leurs peaux de leur Sueur
Derrière la porte sont ceux qui Attendent pour rien Qui se tiennent sur la pointe des pieds Mais on ne voit pas car la vitre en Haut C’est trop haut & sale & mité Elle les devine sourit Elle sait Ils sont Au coin comme empaquetés
Après la vie n’est plus pareille Ou plus grande ou bien minuscule Elle Elle déambule nue tandis Qu’ils sont dehors Encore chauds Elle non c’est sa pudeur Elle ne veut que leurs yeux Sans autre horizon Que les yeux au bout du jour
Jacques Cauda |
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