|
Navigation | ||
Voir aussi la [Galerie de peintures] de Jacques Cauda [E-mail] Article publié le 15 octobre 2023.oOo J’avais dévalisé ses seins son corsage derrière un bosquet Les haies les champs les bois tout respirait le coït coquet Ma main fouillait entre ses deux grosses cuisses fleuries Parmi les lilas les roses l’œillet de chat et les fourmis
Les fleurs parlaient la même langue que son con juteux Que j’avais entrepris vivement sur le tapis mousseux Un carré de verdure où je la déchirais bandant fou De désir féroce foutre et jouir de la baiser partout
Aussi parmi tant de beautés salopes pourquoi s’en tenir Au con ? je la retournais ah quel cul ! et l’entendis hennir Quand je l’enfilais méchamment par l’orifice ce trou Du bonheur enfin libéré de tous ses tabous
C’était la première fois, hmmm, me dit-elle Qu’on la prenait par ici ! ah frileuse hirondelle Allais-je lui répondre remettre ça plein d’aimable tendresse Qu’elle avait déjà filé toute nue libre la bougresse !
Jacques Cauda
|
Revue d'Art et de Littérature, Musique - Espaces d'auteurs | [Contact e-mail] |