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Article publié le 25 février 2024. oOo Il me prend dans ses mots défaits. Solitude fière de sa parole qui a les clefs ouvrant en deux la solitude devant l’éclatement de tous les miroirs, faits comme nous pour se briser sous leurs reflets pareils aux mots fissurés, pour s’affranchir de l’enfermement d’être libres.
Hâter le pas pour respirer sous lui : cela ne fige rien dans les recès des idées abimées. Les rues sont le contenant mouvant de nos présences éconduites, de nos conduites sans présence, et le vide ne saurait nous connaitre comme les rues notre existence.
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