La Déesse descend, dans les souvenirs,
Lora a pris dans ses bras
le silence béni,
elle a donné un œil à l’amour,
une chanson au soleil
et son sourire à la rivière,
ses lèvres m’ont enchanté,
embrassant le rêve du poète ...
J’ai rencontré de nouveau Lora de Prishtina,
dans les grands boulevards,
regardant les ombres des rochers,
la beauté marche courageusement,
amoureuse, comme le météore des mots,
elle, pluie aux flèches en ses yeux,
ses lèvres laissent une braise sur ma langue,
làbas, où le mot pas dit glisse,
le repos disparu,
pendant le sommeil blanc,
Lora de Prishtina – donne une chanson au soleil.