Ne nous y trompons pas : malgré les apparences, nous sommes au point où le rapport au monde est le plus large possible car le monde entier y passe par un ou plusieurs corps à la fois, en une seule et même chair. L’aveu, que l’espèce de prétérition finale rend inexpiable, j’aurais voulu le faire, je l’ai fait avec les phrases d’une autre ! Oui, il est temps que la littérature ( sans étiquette aucune ) fasse sortir la chair du placard et s’avise de l’écrire comme il convient qu’elle le soit, avec l’encre aussi des sécrétions les plus intimes, à fleur
de poil, à fleur de mots, quoi qu’il en coûte !