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Article publié le 16 octobre 2016. oOo Si l’on bondit sur une solitude, Elle se cache avec une mutine intention d’enivrer Par le coup du désert, où la soif et la vue S’unissent et font la chaine sur le mur De la chambre, où les choses visibles, deviennent Comme la levure des apparitions, Enceintes de la joie menue du sablier, Lui-même la chance déclinée du sable, Où les bondissements, De dunes gravissent la peau gourde de l’eau, Que traverse la langue bosselée du vent, Et son blanc coudoiement sans interprétation, Son propre froncement fictionnel conduisant, Au péage animal de l’écrit.
et le clavier est sur la table tête nue l’auteur |
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