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![]() oOo Et puis, maintenant, étends-toi, longuement, sur le ventre que
je puisse plaquer mes seins contre la griffure tiède de tes côtes en te serrant jusqu’au supplice contre le bois dur et froid du lit,
fêter ta nuque (oh non, toi tu ne la verras jamais) à petits coups de langue à la racine même du cheveu
et de leur raie, même (cruelle, écartée, ouverte, nue !) et puis perdre enfin sans fin tête et patrie
dans les cheveux tièdes et infinis de ton infinie tête chaude, et close. |
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