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Article publié le 7 juillet 2019. oOo Ne saurais dire, et peu m’importe Si parfois je m’emporte Si peu importe Que, dans le poème, Le poème soit - ainsi soit-il - une totalité émouvante Ouverte, autant que dire se peut, sur l’infini de son Dire Que l’être pétrit à plaisir Sans qu’il - le poème, le Dire – ne parvienne jamais tout à fait à l’embrasser, L’être du poème, le poème de l’être, Tel, jadis, ce blé en gerbes paysannes rassemblé Battu et rebattu sous les fléaux Dans la grange à ciel ouvert de Freyr
Jean-Michel Guyot 18 juin 2019 |
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