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![]() oOo Froues, Phoenix, atrium des folios Rouis d’or : "Où tu t’es accroupie, L’aire est d’un grand profit"-, La vie à quai d’avril garde un froid ; Mais le pavé est clair, "il frétille" Et veut s’émanciper, se découvrir d’un fil Malgré les pages roses, accueillir les blessures, Car la quille de l’air touche au sol. Et la photographie de la pluie te ressemble Malgré cette absence de ta hanche gauche Nympharum membradisjecta, et ceci : Elle a ému mon sang, elle éclaire les murs, Elle roue sous son pas l’herbe et gerbe l’asphalte Où me roule en ce je qui plus que moi la frôle. (rue Phoenix 19/05/05) |
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