|
Navigation | ||
[E-mail]
Article publié le 14 décembre 2007. oOo
Il fait chaud à crever Et tout poisse et tout colle On s’ croirait à New York L’été quand la ville pue
Quand les fumées débouchent Du bitume de la rue Comme des volcans d’égouts Que retenait la mort
On dirait que plus rien Ne bouge et ne respire Les arbres et les pigeons Sont tous jaunes de soleil
La Seine bat la chamade Aux touristes qui la mirent Sa réputation est en jeu Pourriture en noblesse
Quand les fumées débouchent Du bitume de la rue Comme des volcans d’égouts Que retenait la mort
Les ratés du pavé Traînent leurs vaisselles Jetant de-ci de-là Quelques paroles froissées
Il fait chaud à crever Et tout poisse et tout colle On s’ croirait à New York L’été quand la ville pue
|
Revue d'Art et de Littérature, Musique - Espaces d'auteurs | [Contact e-mail] |