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![]() oOo Dans la prose outrancière de la contrée les mouches vrombissent un plain-chant lascif. scieuses de longanes, initiées des sueurs sur la Rise idoine de l’air. La carie du soleil sur le fond de tout fond obscurcit le regard béant-bleu, d’un sarreau noir où ruent des myriades de feintes, de laps. folles qui agacent. Et de s’enchevêtrer aux intervalles brefs qui constellent l’endroit et sa végétation obéissante et verte, pour configurer des angles habitables, futiles fétus de l’espace émondés qui ne laissent que l’exuvie d’une injonction. |
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