Clochers de saint Glinglin ou de saint Frusquin...
Clochers de saint Glinglin ou de saint Frusquin.
Les saints et les seins. Assomptions et ascensions.
Tout ce qui monte redescendra un jour. Gravité.
Les visages devant la mort. Portrait de l’humain.
Et les champs couverts de verglas en mottes.
Alouettes des miroirs. Au passage tu salues
Et on te reconnaît. Café des guéridons et des chaises.
Mais qu’est-ce que c’est que cette réalité de cinéma ?
Item la lessive que je n’ai jamais faite / son eau
Blanche comme le lait qui coule des lavoirs.
Il n’y a pas d’autre écriture. Je le sais
Depuis si longtemps que je n’ai pas d’autre enfant
À nourrir de mon travail. J’aime ce qui s’approche
De rien et ne crois pas qu’il existe un tout.
Quelle douce anarchie que celle de la paresse !
Loin des ministères et des conseils d’administration.
Peut-être à fleur des vitrines mais sans jalousie.
Un beau corps refleurit ces déserts. Le sais-tu ?